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Chris Owalla

DDH, directeur exécutif
Community Initiative Action Group – Kenya

Chris Owalla est un défenseur des droits humains qui milite pour la justice sociale et environnementale. Chris Owalla milite également contre la corruption et la mauvaise gestion des fonds publics depuis 2013 ; il est apparu précédemment sur la Kenya Broadcasting Corporation (KBC), un média local, soulignant que le service public du comté de Siaya manquait de transparence et ne respectait pas les législations disponibles et les lois guidant la participation du public. Il a ajouté que l’engagement devrait commencer au niveau du secteur et inclure les parties prenantes jusqu’au niveau des quartiers et des villages.

Chris Owalla est directeur exécutif du Community Initiative Action Group — Kenya, une organisation fondée en 2005 pour la défense des droits humains, de la justice sociale et de la politique sociale. Il est également coordinateur du Siaya Civil Society Network, une organisation de la société civile (OSC) qui agit dans la partie occidentale du Kenya pour promouvoir la bonne gouvernance, la transparence et la responsabilité dans la gestion des affaires publiques. En outre, Chris Owalla est membre du comité directeur du Kenya Devolution Civil Society Organisations Working Group (KDCWG), une plateforme nationale d’organisations de la société civile des réseaux des 47 comtés du Kenya. L’objectif général du KDCWG est de contribuer à l’efficacité de la mise en œuvre de la décentralisation au Kenya et à la réalisation des promesses de décentralisation comme stipulé dans la Constitution du Kenya.

Tandis que le Kenya donne l'apparence d'un pays où l'espace public est ouvert, des catégories spécifiques de défenseur-ses des droits humains font face à de nombreux risques à cause de leur travail. Cela inclus des défenseur-ses des droits humains et journalistes qui travaillent sur les questions sensibles de corruption, ceux qui documentent ou contribuent aux témoignages sur les violences passées (y compris les violences post-électorales de 2007/2008 et les exécutions extrajudiciaires fréquemment perpétrées par la police), ainsi que ceux-celles qui utilisent les manifestations pacifiques comme outils de plaidoyer.