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Ehisler Vásquez

DDH & fondateur
Civil Association Strength, Union, Justice, Solidarity and Peace

Ehisler Vásquez is the founder of Asociación Civil Fuerza, Unión, Justicia, Solidaridad y Paz – FUNPAZ (Civil Association Strength, Union, Justice, Solidarity and Peace), in Barquisimeto, Lara. The Association was created after repressive acts carried out by the Guardia Nacional Bolivariana - GNB (Bolivarian National Guard) on 15 and 16 April 2013, when the human rights defender himself was shot five times by the authorities while participated in a peaceful demonstration, in Barquisimeto. Ehisler Vásquez went through four surgeries since, but has not fully recovered from the violent acts. The human rights defender has denounced the acts of the GNB to the Public Prosecution of Venezuela and has for four years struggled to bring them to justice, as well as advocated, together with FUNPAZ, against the impunity of state’s Ehisler Vásquez est fondateur de l'Asociación Civil Fuerza, Unión, Justicia, Solidaridad y Paz – FUNPAZ (Association civile, force, union, justice, solidarité et paix) à Barquisimeto, État de Lara. L'association a été créée en réponse aux actes répressifs de la Guardia Nacional Bolivariana - GNB (Garde nationale bolivarienne) les 15 et 16 avril 2013, lorsque les autorités ont tiré à cinq reprises sur le défenseur alors qu'il participait à une manifestation pacifique à Barquisimeto. Ehisler Vásquez avait été opéré cinq fois, mais il n'a pas totalement récupéré après cette attaque. Le défenseur a dénoncé ces actes devant le parquet public du Venezuela et depuis quatre ans, il lutte pour traduire la GNB en justice. Le défenseur travaille aussi avec la FUNPAZ pour remettre en question l'impunité dont bénéficient les forces de sécurité dans l'État de Lara. Ehisler Vásquez a été menacé et intimidé plusieurs fois en raison de son travail pour traduire les coupables en justice.security forces in Lara. Ehisler Vásquez has been threatened and intimidated several times due to his work to bring those responsible for the acts to justice.

Venezuela

Depuis de nombreuses années, les DDH travaillent en étant sous le coup de règles restrictives: l'administration Maduro continue ce que Chavez avait commencé, en réduisant l'espace de la société civile et en ôtant toute légitimité aux DDH, en les accusant sans cesse de nuire à la démocratie vénézuélienne en collaborant soi-disant avec les États-Unis. Chaque semaine, les DDH sont discrédités et criminalisés par les médias contrôlés par l'État (télévision, radio, presse papier).

Les autorités limitent systématiquement la liberté d'expression, ce qui a créé des problèmes non seulement pour les défenseur-ses des droits humains et les autres voix critiques, mais a aussi largement restreint l'environnement dans lequel les médias opèrent. En effet, les DDH qui parlent publiquement des violations des droits humains, y compris devant la Cour interaméricaine des droits humains, sont aussi sujets à des restrictions dans la sphère privée, la surveillance de leurs e-mails et leurs communications étant chose commune.