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Zhao Changqing

Zhao Changqing

DDH
BBC Report
2014

China anti-corruption activist Zhao Changqing on trial

SCMP Op-Ed
2014

Why is Beijing cracking down on peaceful civil movements?

Zhao Changqing a écrit près d'une douzaine d'articles à propos de la Charte 08. En 2009, dans un article intitulé La Charte 08 et mon amour, il écrivait que la "démocratie, la liberté, les droits humains et l'état de droit" étaient les premiers amours de sa vie politique et qu'il n'avait jamais hésité". "J'ai connu cet amour il y a 20 ans" écrit-il, "20 ans plus tard, je les aime avec encore plus d'enthousiasme".

Gu Chuan, un ami de Zhao Changqing

Gu Chuan, friend of Zhao Changqing

Zhao Changqing est un défenseur des droits humains qui a été emprisonné quatre fois à cause de ses activités pour la démocratie, les réformes politiques et la lutte contre la corruption. Il avait participé aux manifestations de 1989 pour la démocratie et après la répression violente, il avait tenté de rassembler des preuves de la fusillade. Il avait été frappé et détenu pendant quatre mois. En 1998, il a été condamné à trois ans de prison pour avoir "mis en danger la sécurité de l'État" pour s'être présenté aux élections locales en tant que candidat indépendant. Après avoir lancé une pétition en faveur d'une réforme politique en 2002, il a été condamné à cinq ans de prison pour "incitation à la subversion du pouvoir de l'État". En 2014, il a de nouveau été condamné à 2 ans et demi de prison pour avoir participé au Mouvement des nouveaux citoyens, un large réseau de personnes qui militent pour une plus grande transparence au sein des cadres du parti communiste chinois, une plus grande égalité au sein du système éducatif et à un gouvernement constitutionnel.

China General Context

Les DDH chinois sont la cible d'intimidation, harcèlement, assignations à résidence, torture et emprisonnement. Ils doivent également opérer dans un cadre législatif très restrictif:, il existe des lois qui criminalisent toutes les manifestations non autorisées et qui exigent le soutien du gouvernement pour l'enregistrement des ONG, ce qui est refusé à toute organisation opérant dans le domaine des droits humains.