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Miriam Miranda Chamorro

Miriam Miranda Chamorro

DDH, Membre
Carlos Escaleras Prize
2016

The Carlos Escaleras environmental award was given to Miranda by the Centro de Derechos de Mujeres, the Equipo de Reflexión, Investigación y Comunicación and the Fundación San Alonso Rodríguez in recognition of her work with OFRANEH to protect and defend ancestral territories in Honduras.

Premio Nota SOL
2016

The Premio Nota SOL, is given "to recognize and encourage groups that are carrying out, or have already carried out actions, initiatives, and projects designed to strengthen the culture of indigenous peoples, foster sustainable development, and defend their universal human rights."

Food Sovereignty Prize
2015

Miriam Miranda Chamorro est présidente de l'Organización Fraternal Negra Hondureña – OFRANEH, une organisation qui œuvre depuis 1978 pour la promotion de l'autodétermination de la communauté afro-caribéenne Garifuna, par le biais de programmes qui soutiennent leur avancement politique social, économique et culturel.

En octobre 2016, Miriam Miranda a reçu le Prix Carlos Escaleras en reconnaissance de son action en faveur des droits humains, notamment la protection et la défense de territoires ancestraux du peuple Garífuna au Honduras. Les menaces et agressions à l'encontre de Miriam Miranda, y compris une arrestation avec violence, un enlèvement et du harcèlement, se sont poursuivies même après l'octroi de mesures de précaution par la Commission interaméricaine des droits de l'Homme le 20 septembre 2011 (MC 322/11). En octobre 2016, OFRANEH s'est vu remettre le Prix Nota SOL, qui récompense les groupes qui mettent en place des projets de renforcement de la culture de peuples autochtones, qui mettent l'accent sur le développement durable et la défense des droits humains. En 2015, OFRANEH avait reçu le Prix pour la souveraineté alimentaire, remis à des militants associatifs œuvrant pour un système alimentaire plus démocratique.

Elle a participé à la plateforme de Dublin pour les défenseur-ses des droits humains en 2005.

Les défenseur-ses des droits humains (DDH) sont victimes d'exécutions extrajudiciaires, disparitions forcées, tortures et mauvais traitements, ainsi que d'acharnement judiciaire, menaces et stigmatisation. Les journalistes, avocats, procureurs, ceux-celles qui défendent les droits des femmes, des enfants, la communauté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre et intersexuée (LGBTI), les communautés autochtones et afro-honduriennes, et ceux-celles qui défendent l'environnement et le droit à la terre sont particulièrement en danger.