Le 18 mai 2021, le tribunal municipal de Phnom Penh a rejeté la libération sous caution de sept défenseur-ses des droits humains, dont cinq membres de Khmer Thavrak et deux membres de la Khmer Student Intelligent League Association.
Le 18 mai 2021, le tribunal municipal de Phnom Penh a rejeté la libération sous caution de sept défenseur-ses des droits humains, dont cinq membres de Khmer Thavrak et deux membres de la Khmer Student Intelligent League Association.
Le 28 juillet 2020, la journaliste et défenseuse des droits humains Samira Sabou a été relaxée par le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Niamey au motif d' "infractions non constituées", et elle a été libérée le même jour. La défenseuse était détenue à la prison civile de Niamey depuis le 10 juin 2020 et accusée de diffamation en rapport avec une publication sur les réseaux sociaux évoquant une affaire de corruption.
Le 14 février 2020, l'ordre a été donné afin de transférer l'enquête sur l'affaire de Bhima Koregaon devant le tribunal de la National Investigation Agency à Mumbai. La prochaine audience a été fixée au 28 février 2020. Dans le même temps, les neuf défenseur-ses des droits humains ont été transférés dans la prison d'Arthur Road à Mumbai.
Le 27 octobre 2017, le défenseur des droits humains Julito M. Otacan et cinq membres de l'organisation de défense des droits des populations autochtones Tagdumahan Indigenous Peoples' Organization ont été arrêtés lors d'un raid de l'armée dans le village de Balit, dans la province d'Agusan del Sur, pour possession illégale d'armes à feu et d'explosifs.
Le 8 juin 2020, les défenseurs des droits humains Taylor Engonga et Peter Tetunabo ont été libérés sous caution après avoir bénéficié d'une libération provisoire le 5 juin, avec une caution de 350 dollars (environ 310 euros) chacun. Les deux défenseurs n'ont pas encore été informés des accusations portées contre eux. Ils doivent comparaître devant le magistrat du tribunal de Lisala le 15 juin, et toutes les deux semaines par la suite jusqu'à nouvel ordre. Le tribunal est situé à environ 150 km de leur ville de résidence, Bumba.
Le 4 juin 2020, le défenseur des droits humains Yannick Mokanga et le journaliste Fabrice Ngani ont été libérés sans qu'aucune charge ne soit retenue contre eux.
Le 28 mai 2020, les défenseurs des droits humains Taylor Engonga, Peter Tetunabo et Yannick Mokanga ont été arbitrairement arrêtés par les gardes du corps du ministre provincial de l'intérieur à Bumba, dans la province de Mongala. Les défenseurs sont actuellement détenus dans la prison 22 de Lisala, chef-lieu de la province de Mongala.
