Le 10 octobre 2020, Khaled Elbalshy, défenseur des droits humains et journaliste à Daaarb, a été informé que son frère, Kamal Elbalshy, avait été placé en détention préventive. Selon un membre du conseil d’administration du Syndicat de la presse égyptien, un haut responsable du gouvernement a affirmé qu’il n’y avait aucune preuve contre Kamal Elbalshy et qu’il était pris pour cible parce qu’il est le frère de l’éminent défenseur des droits humains.
Recherche
Le 18 mai 2021, le tribunal municipal de Phnom Penh a rejeté la libération sous caution de sept défenseur-ses des droits humains, dont cinq membres de Khmer Thavrak et deux membres de la Khmer Student Intelligent League Association.
Le 20 octobre 2020, la cour d'appel de Phnom Penh a rejeté la demande de mise en liberté sous caution de deux membres de khmers Thavarak ; Hun Vannak et Chhoeurn Daravy.
Le 22 février 2021, la Haute Cour de Bombay a accordé au défenseur des droits humains Varavara Rao une libération conditionnelle sous caution pour raisons médicales
Le 16 juillet 2020, le défenseur des droits humains Varavara Rao a été testé positif au COVID-19. Il était incarcéré dans la prison de Taloja avant d'être transféré à l'hôpital public JJ suite à la détérioration de sa santé. Le défenseur de 79 ans doit immédiatement recevoir un traitement spécialisé urgent dans un hôpital privé.
La santé de Trần Huỳnh Duy Thức s'est sérieusement dégradée depuis que le défenseur a entamé une grève de la faim il y a près d'une semaine.
Le 5 janvier 2021, un tribunal de Hô-Chi-Minh-Ville a condamné les journalistes et défenseurs des droits humains Le Huu Minh Tuan et Nguyen Tuong Thuy à 11 ans de prison. Un troisième journaliste, Pham Chi Dung, a été condamné à 15 ans. Les défenseurs des droits humains sont accusés d'avoir fabriqué et diffusé de la propagande contre l'État.
Le 22 mai 2018, 15 défenseur-ses des droits humains pro-démocratie, dont Anon Nampa, Rangsiman Rome, Sirawith Seritiwat, Chonticha Jaengrew et Piyarat Chongthep, ont été arrêtés et accusés de sédition, d'avoir violé l'interdiction imposée par la junte sur les rassemblements politiques de cinq personnes ou plus, et la loi sur le trafic routier, pour avoir participé à une manifestation en faveur de la démocratie à Bangkok.
Le 16 août 2022, Mustafa Nili a annoncé sur son compte Twitter que la Branche 36 de la Cour d’appel de Téhéran a confirmé le verdict initial rendu par la Branche 29 du tribunal révolutionnaire dans le cadre de l’affaire contre les défenseurs du droit à la santé Mustfa Nili, Arash Keykhosravi et Mehdi Mahmoudian. La cour d’appel a confirmé le verdict initial sans tenir de nouvelle audience.
Le 11 mai 2021, les membres de la famille du défenseur des droits humains emprisonné Hany Babu ont appelé les autorités indiennes à le laisser accéder immédiatement à des soins médicaux. Début mai 2021, le défenseur des droits humains a développé une grave infection oculaire, qui a déjà altéré sa vision de l'œil gauche, et qui s'est maintenant étendue à sa joue, à son oreille et à son front. Le défenseur des droits humains a d'intenses douleurs et continue de se voir refuser l'accès à des services de base, notamment l'eau potable et des soins.
Le 17 juin 2021, Narges Mohammadi, Mustafa Nili et deux autres défenseur-ses des droits humains ont été arrêtés, agressés physiquement, détenus pendant quelques heures et leurs appareils ont été confisqués temporairement par des agents du renseignement à Shazand, dans la province de Markazi, dans le centre de l'Iran. Le groupe de défenseur-ses n'a pas été autorisé à entrer dans Arak pour rendre visite à la famille d'un défenseur incarcéré dans la prison de la ville.
Le 10 juin 2021, des inconnus accompagnés de policiers ont fait une descente dans un refuge pour femmes survivantes de violences sexistes à Makhatchkala afin de renvoyer de force Khalimat Taramova, une femme tchétchène qui séjournait au refuge, dans sa famille en Tchétchénie. Les défenseuses des droits humains Svetlana Anokhina et Maysarat Kilyaskhanova, qui étaient présentes au moment du raid, auraient été passées à tabac et détenues avec 3 autres femmes. Les femmes ont ensuite été libérées et Khalimat Taramova a été renvoyée de force dans sa famille en République tchétchène.
Le 30 décembre 2019, Amaya Coppens a été libérée avec 90 autres prisonniers.
Amaya Coppens avait été arrêtée le 14 novembre 2019 avec 15 autres défenseur-ses des droits humains alors qu'ils distribuaient de l'eau aux mères de prisonniers politiques dans l'église San Miguel Arcángel à Masaya, au Nicaragua.
Le 4 mars 2017, la défenseuse des droits humains Li Xiaoling a été illégalement placée en détention préventive par plus de trente policiers et placée en résidence surveillée dans l'Hôtel An 2000 à Zhuzhai, dans la province de Guangdong. Li Xiaoling avait fuit pour rejoindre le domicile de sa fille dans la ville de Zhongshan, après avoir échappé à une précédente détention surveillée qui avait commencé le 27 février 2017. Peu après qu'elle a rejoint le domicile de sa fille, plus de trente policiers sont arrivés pour ramener Li Xiaoling à l'hôtel An 2000.
Le 20 janvier 2017, les forces d'occupation israéliennes ont arrêté les défenseurs des droits humains Mme Lema Nazeeh et M. Mohammed Khatib, de même que quatre autres manifestants pacifiques, près de l'implantation illégale israélienne de Ma’ale Adumim, dans les territoires occupés palestiniens. Par la suite, les forces israéliennes ont maltraité Lema Nazeeh tout au long de ses quatre jours de détention dans la prison Al-Maskubiyyah de Jérusalem. Le 23 janvier 2017, les forces d'occupation israéliennes ont également arrêté le défenseur des droits humains M.
Le 18 août 2022, la police sri-lankaise a employé une force disproportionnée contre des manifestants pacifiques à Colombo, en utilisant notamment du gaz lacrymogène, des canons à eau et des matraques. 20 manifestants, dont le défenseur des droits humains Chinthaka Rajapaksa et le leader étudiant et défenseur du droit à l’éducation Wasantha Mudalige, ont été arrêtés. 16 des personnes arrêtées ont été libérées sous caution par le tribunal le lendemain (19 août). Chinthaka Rajapakse n’a pas été libéré sous caution et a été placé en détention provisoire jusqu’au 26 août.
On 29 June 2019, Carola Rackete was arrested for docking in the port of Lampedusa, Sicily, to disembark 42 migrants who had been rescued two weeks earlier off the Libyan coast, defying a ban by the Italian interior minister Matteo Salvini. The human rights defender was initially put under house arrest, on charges of breaking an Italian naval blockade (under the recently approved decree known as Salvini bis) and for accidentally ramming a police boat that was trying to block her manoeuvrers.
Le 15 avril 2022, le défenseur des droits humains taïwanais Lee Ming-che est retourné à Taïwan après avoir purgé une peine arbitraire de cinq ans en Chine continentale.
Le 17 novembre 2021, le défenseur des droits humains Liu Feiyue a fini de purger sa peine de cinq ans et a été libéré de prison dans la province de Hubei.
Le 12 juillet 2019, la famille de Liu Feiyue a reçu le verdict de l'appel de la Haute Cour provinciale du Hubei rejetant son appel et confirmant la peine initiale.
Le 14 octobre 2021, 20 à 25 inconnus se sont introduits par effraction dans le bureau de l’International Historical and Human Rights Society Memorial (International Memorial) à Moscou, interrompant une projection de film. Lorsque les policiers sont arrivés sur place, ils ont affirmé que la projection n’était « pas autorisée » et ils ont bloqué le bureau, enfermant alors illégalement des dizaines de personnes à l’intérieur de l’immeuble pendant des heures.
Le 27 avril 2021, le tribunal du district de Meshchansky à Moscou a condamné le défenseur des droits humains Sergey Davidis à 10 jours de détention administrative pour « organisation ou tenue d’un événement public sans avoir préalablement déposé, conformément à la procédure établie, un préavis de manifestation ». Les accusations sont basées sur un retweet de Sergey Davidis le 18 avril 2021, à propos d’un rassemblement de soutien au chef de l’opposition Alexei Navalny prévu le 21 avril 2021.
Le 25 mars 2021, le défenseur des droits des migrants Izzat Amon a été enlevé à Moscou et transféré de force au Tadjikistan. Le défenseur a été maintenu dans un lieu inconnu pendant deux jours avant que le ministère de l’Intérieur du Tadjikistan n’indique qu’il se trouve en détention préventive au Tadjikistan et qu’il est accusé de fraude à cause de son travail en faveur des droits humains en Russie.
Le 13 février 2021, la défenseuse des droits humains Sultana Khaya a été victime d'une violente agression physique qui lui a causé de graves blessures aux yeux.
La défenseuse des droits humains Sultana Khaya est assignée à résidence depuis presque 11 semaines chez elle à Boujdour. Le 19 novembre 2020, plusieurs unités de la police marocaine ont assiégé sa maison et ont agressé la défenseuse physiquement et verbalement.
Le 16 septembre 2020, le tribunal militaire du district sud de Rostov-sur-le-Don a condamné le défenseur des droits humains Server Mustafayev à quatorze ans dans une colonie pénitentiaire à régime strict. Server Mustafayev a été arrêté en mai 2018 et accusé d’appartenance à une organisation terroriste. Plus tard, l’accusation de «projet de s’emparer violemment du pouvoir» a également été ajoutée à l’affaire.
Le 12 mars 2020, Ran Chongbi a été libérée au terme de sa peine de prison.
Le 1er février 2018, Ran Chongbi a été jugée devant le tribunal populaire de Chongqing. Le 20 juin 2018, la cour a condamné Ran Chongbi à trois ans et six mois de prison pour avoir "provoquer une querelle et des troubles". Le 7 septembre 2018, le 2e tribunal populaire intermédiaire de Chongqing a rejeté l'appel de Ran Chongbi et a confirmé le verdict.
Le 27 janvier 2020, la défenseuse des droits humains Li Yanxiang a été libérée de prison au terme de sa peine.
Le 8 novembre 2019, Zhen Jianghua a été libéré de la prison de Yingde, dans la province de Guangdong, après avoir purgé l'intégralité de sa peine.L
e 28 décembre 2018, le tribunal populaire intermédiaire de Zhuhai a reconnu Zhen Jianghua coupable "d'incitation à la subversion du pouvoir de l'État" et l'a condamné à deux ans de prison.