Le 24 octobre 2023, le groupe de défense des droits humains Crew Against Torture a signalé que les autorités tchétchènes avaient arrêté Magomed Alamov, membre de Crew Against Torture et défenseur tchétchène des droits humains, et proféré des menaces de mort. Les autorités s’en sont également pris à Magomed Alamov en menaçant la sécurité de sa famille.
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Le 21 juin 2023, le défenseur des droits humains tatar de Crimée Emir-Usein Kuku a été hospitalisé d’urgence alors qu’il se trouvait dans le centre de détention de Salavat, en Russie, pour une douleur aiguë. Son épouse Mariem a tenté de contacter l’administration de l’établissement, mais n’a reçu aucune réponse. Seule la Commission russe de surveillance publique du Bachkortostan a confirmé que le défenseur avait été hospitalisé et opéré.
Le 6 septembre 2022, le tribunal de Minsk a condamné la défenseuse des droits humains Maria Rabkova à 15 ans de prison et lui a infligé une amende de 22 400 roubles biélorusses (environ 8800 euros). La Cour l’a déclarée coupable d’avoir violé dix articles du Code pénal (CP) de Biélorussie. L’audience s’est tenue à huis clos.
Le 10 juillet 2023, le frère de la défenseuse des droits humains Sepideh Gholian a annoncé sur les réseaux sociaux que la cour d’appel a confirmé la peine de deux ans de prison prononcée contre elle en mai 2023 par la branche 26 du tribunal révolutionnaire de Téhéran, pour avoir « insulté le Guide suprême ».
Le 6 juin 2023, la 35e Haute cour criminelle d’Istanbul a acquitté quatre défenseur⸱ses des droits humains de toutes les charges lors de la deuxième audience du nouveau procès de l’affaire Büyükada, également connu sous le nom de l’affaire #Istanbul10. Le nouveau procès a eu lieu après la décision de la Cour de cassation d’annuler les peines des défenseur⸱ses le 22 novembre 2022.
Le 9 mai 2022, la défenseuse des droits humains Golrokh Iraee a été libérée de la prison d’Amol. La défenseuse des droits humains a été libérée sans condition sur la base de l’article 134 du Code pénal islamique, selon lequel « un condamné doit purger la peine la plus sévère, en cas de peines multiples ».
Le 1er mars 2023, l’éminent défenseur des droits humains Abdulhadi Al-Khawaja a informé sa famille des mauvais traitements infligés par les gardiens de prison en rapport avec les graves complications de santé qu’il subit.
Le 24 juin 2022, deux ans et sept mois après son arrestation arbitraire, le défenseur des droits humains Fredy Garcia Ramirez a été libéré après que la Cour unitaire de Huatulco, organe du pouvoir judiciaire de l’État de Oaxaca, l’a acquitté au motif qu’il n’y avait aucune preuve à charge pour appuyer les accusations portées contre lui.
Le 10 juillet 2020, le défenseur des droits humains emprisonné Fredy García a été roué de coups et menacé par plusieurs gardiens de la prison de Tanivet à Tlacolula, Oaxaca.
Le 17 janvier, la Cour d'appel de Laâyoune a décidé de réduire la peine d'Ali Al-Sadouni, Nour-al-Din Arkoubi et Khalihon Al-Faak de deux ans à un an et demi
Le 17 janvier, la Cour d'appel de Laâyoune a décidé de réduire la peine d'Ali Al-Sadouni, Nour-al-Din Arkoubi et Khalihon Al-Faak de deux ans à un an et demi
Le 17 janvier, la Cour d'appel de Laâyoune a décidé de réduire la peine d'Ali Al-Sadouni, Nour-al-Din Arkoubi et Khalihon Al-Faak de deux ans à un an et demi.
Le 5 janvier 2024, trois agents de la police nationale et deux agents en civil ont illégalement assigné à résidence l’avocat en droits humains Zola Ferreira Bambi. Les agents ont enchaîné la porte de sa maison avec un cadenas, l’ont détenu et ont perquisitionné sa résidence sans mandat du tribunal. Ils ont ensuite emmené le défenseur des droits humains au poste de police où il est resté de 10 h 30 à environ 15 h 30.
Le 19 janvier 2022, la défenseuse des droits humains Narges Mohammadi a été transférée à la prison de Qarchak à Varamin, un quartier de Téhéran. La défenseuse des droits humains s’est vu refuser l’accès aux appels téléphoniques pendant sa mise à l’isolement, et sa famille n’a pas encore pu la contacter depuis le transfert. Pendant plus de deux mois, elle a été détenue à l’isolement dans le quartier 2A de la prison d’Evin, à Téhéran, qui est géré par le service de renseignement du Corps des gardiens de la révolution iranienne depuis le 17 novembre 2021.
Le 19 juillet 2023, le président égyptien Abdel Fattah El-Sisi a accordé une grâce présidentielle aux défenseurs des droits humains Mohamed El-Baqer et Patrick George Zaki. Cette décision a été prise un jour après la condamnation de Patrick George Zaki à trois ans de prison, et les deux défenseurs ont été libérés le 20 juillet 2023. Au moment de sa libération, Mohamed El-Baqer venait de passer près de quatre ans en prison, tandis que Patrick George Zaki avait été détenu pendant 22 mois.
Le 3 juin 2022, les services pénitentiaires israéliens (IPS) ont libéré la défenseuse des droits humains Shatha Odeh après 11 mois passés dans les prisons israéliennes depuis son arrestation le 7 juillet 2021.
Le 5 septembre 2022, les défenseur⸱ses des droits humains Saïd Boudour, Kaddour Chouicha et Jamila Loukil ont été convoqués le mercredi 7 septembre 2022 à 9 h 30 dans le cadre d’une enquête.
Le 5 septembre 2022, les défenseur⸱ses des droits humains Saïd Boudour, Kaddour Chouicha et Jamila Loukil ont été convoqués le mercredi 7 septembre 2022 à 9 h 30 dans le cadre d’une enquête.
Dans la matinée du 24 août 2022, la police aux frontières de l’aéroport international d’Oran — Ahmed Ben Bella, a empêché le vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) et coordinateur national du Syndicat des enseignants solidaires, Kaddour Chouicha, de quitter le pays à bord d’un vol pour Paris.
Le 5 septembre 2022, les défenseur⸱ses des droits humains Saïd Boudour, Kaddour Chouicha et Jamila Loukil ont été convoqués le mercredi 7 septembre 2022 à 9 h 30 dans le cadre d’une enquête.
Le 4 août 2022, la cinquième chambre du tribunal pénal spécialisé d’Alger a rejeté un appel visant à stopper le contrôle judiciaire du journaliste et défenseur des droits humains Saïd Boudour.
Le 8 décembre 2021, le tribunal du district de Kirov, en République de Crimée, a statué en faveur de la condamnation du défenseur des droits humains Mustafa Seidaliev à 10 jours de détention.
Le 23 mars 2022, la défenseuse des droits humains Liu Yanli a quitté la prison de Hankou à Wuhan, dans la province de Hubei, après avoir purgé une peine de quatre ans.
En octobre 2020, la défenseuse des droits humains Liu Yanli a été transférée à la prison de Hankou à Wuhan, dans la province du Hubei, pour purger sa peine de quatre ans ; depuis, les autorités pénitentiaires n'ont pas autorisé sa famille à lui rendre visite. Les demandes de Liu Yanli de téléphoner à sa famille sont également refusées depuis son transfert.
Le 22 décembre 2020, cinq défenseur-ses des droits humains et membres du Belarus Press Club, Yulia Slutskaya, Sergey Olshevskiy, Alla Sharko, Sergey Yakupov et Petr Slutsky ont été arrêtés à Minsk. Ils ont tous été interrogés par le Département des enquêtes financières pour des soupçons d'évasion fiscale. Sergey Yakupov a ensuite été libéré de détention préventive et expulsé vers la Russie le 31 décembre 2020. Les quatre autres défenseur-ses des droits humains ont été inculpés et sont toujours détenus.
Luis Manuel Otero Alcántara a été libéré du centre de détention d'El Vivac le 14 mars 2020. Il attend toujours son procès pour des fausses accusations de dommages matériels, en plus d'autres accusations portées contre lui.
Le 22 février 2023 Behnam Mosivand a été libéré de la prison de Rajaie Shahr après deux ans et huit mois de prison.
Jeudi 15 septembre 2022, l’avocat égyptien et défenseur du droit du travail Haytham Mohamadeen a été libéré de prison après plus de 4 ans de détention préventive.
Le 6 mai 2020, la cour d'assise du Caire a renouvelé la détention préventive d'Haytham Mohamadeen pour 45 jours.
Le défenseur des droits humains Haytham Mohamadeen est maintenu en détention préventive. Plus récemment, le 18 février 2020, la cour d'assise du Caire a prolongé sa détention de 45 jours.
Le 12 octobre 2023, la 26e Haute Cour pénale d’Istanbul entendra l’affaire de 23 personnes, dont au moins dix-huit défenseur⸱ses des droits humains membres de Göç İzleme Derneği (GÖÇİZDER). Ils sont accusés d’« appartenance à une organisation terroriste » [prétendument en relation avec le PKK] pour des activités liées à leur travail en faveur des droits de l’homme.