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Agression physique d'un membre de Right Side

Statut: 
Agressé physiquement
À propos de la situation

Dans la nuit du 28 février 2018, un membre de l'organisation de défense des droits des transgenres "Right Side", une femme transgenre, J., a été agressée physiquement par un inconnu, chez elle, à Erevan. L'agresseur a aussi mis le feu à son appartement.

À propos de Right Side

"Right Side" a été fondée en 2016 par des défenseur-ses des droits des personnes transgenres et travaille avec les membres de la communauté trans en Arménie. Right Side est la première et la seule ONG dans le Caucase qui lutte pour l'égalité des droits de tous, sans tenir compte de leur orientation sexuelle, de l'identité des genres ou de l'expression des genres. J. a reçu des menaces à cause de son implication active au sein de "Right Side" et de son ouverture concernant son travail sur les réseaux sociaux.

6 Mars 2018
Agression physique d'un membre de Right Side

Dans la nuit du 28 février 2018, un membre de l'organisation de défense des droits des transgenres "Right Side", une femme transgenre, J., a été agressée physiquement par un inconnu, chez elle, à Erevan. L'agresseur a aussi mis le feu à son appartement.
 
"Right Side" a été fondée en 2016 par des défenseur-ses des droits des personnes transgenres et travaille avec les membres de la communauté trans en Arménie. Right Side est la première et la seule ONG dans le Caucase qui lutte pour l'égalité des droits de tous, sans tenir compte de leur orientation sexuelle, de l'identité des genres ou de l'expression des genres. J. a reçu des menaces à cause de son implication active au sein de "Right Side" et de son ouverture concernant son travail sur les réseaux sociaux.

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Dans la nuit du 28 février 2018, une femme transgenre, J., membre de "Right Side", a été agressée physiquement par un inconnu, chez elle, à Erevan. Après l'avoir brutalement frappée, l'agresseur a enfermé J. dans son appartement et a mis feu. J. a réussi à fuir de l'appartement en feu et a été conduite dans un hôpital où elle est désormais soignée pour ses graves blessures, dans l'unité de soins intensifs. Son visage et ses côtes sont brisés; les médecins ont indiqué qu'elle est dans un état critique mais stable.

La police arménienne connait l'identité de l'agresseur présumé et ce dernier a signé un accord écrit disant qu'il ne quitterait pas le pays le temps de l'enquête. La police d'Erevan est en train de préparer un dossier mais les enquêteurs n'ont pas encore pu parler à la victime en raison de son état critique. Les forces de l'ordre ont ouvert une affaire criminelle en vertu de l'article 112 du Code pénal arménien - blessures volontaires gravement préjudiciables pour la santé.

Front Line Defenders condamne l'agression brutale de J. et pense que l'agression a un lien direct avec son travail en faveur des droits humains et des droits des personnes transgenres.